Bleach Dream
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 Chapitre 1

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Être omniscient

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Chapitre 1 Empty
MessageSujet: Chapitre 1   Chapitre 1 Icon_minitimeJeu 26 Mai - 21:33

Il est dit qu'avant la Grande guerre, les Hommes vivaient au milieu de différentes créatures... Certaines d'entre elles pouvaient même voler. On les appelés "Oiseaux"...
??? : Voler ? Comment cela serait possible ?

Aujourd'hui, l'Humanité vit recluse sous terre dans ce que l'on nomme le "Bas-monde".

Une jeune femme courait dans les rues étroites et sombres de Hollow, capitale du Bas-monde, poursuivie par une bande de cinq hommes armés.
Hommes : Arrête de courir ! On veut juste jouer avec toi ! Lui criaient-ils.
Rapidement, la jeune femme se trouva bloquée dans une impasse ; à la merci de ses agresseurs.
Jeune femme : Je vous en prie, laissez-moi tranquille ! Implora-t-elle.
Hommes : Hé hé, on va bien s'amuser. Tu verras ma jolie !
Une silhouette surgit de nul part et trancha deux des hommes avant de disparaitre dans les ombres.
Hommes : Qu'est-ce que c'est ce bordel ?!
Les hommes sortirent leurs armes à feu et se mirent à tirer dans tous les sens. Mais, la silhouette apparue silencieusement derrière l'un d'eux et lui trancha la gorge. Les deux hommes restant se retournèrent pour voir leur assaillant. C'était un homme de taille moyenne, recouvert d'une veste à capuche et dont le visage était à moitié caché par un masque qui laissait, cependant, entrevoir ses yeux et sa bouche.
Hommes : Ce... ce masque... C'est "l'Oiseau de mort" !!
L'un des deux hommes jeta son arme à terre avant de prendre la fuite.
Homme : Revient sale lâche !
Il était à présent seul à faire face à l'Oiseau de mort. Ce dernier restait immobile, tenant son couteau ensanglanté dans sa main droite. La jeune femme était appuyée sur le mur au bout de la ruelle, choquée par ce qu'elle venait de voir.
Homme : Bordel ! C'est elle que tu protèges, hein ? Dit-il, avant de se retourner face à la jeune femme et de lui tirer dessus.
L'Oiseau de mort surgit à côté d'elle et la poussa, se prenant la balle à sa place. Puis, sans que le tireur ait le temps d'armer à nouveau, sa gorge fut tranchée. Le sang gicla sur les habits noirs de l'assassin. Et, c'est recouvert de sang qu'il se retourna pour regarder celle qu'il avait sauvée. La jeune femme tomba à la renverse ; partagée entre effrois et gratitude. L'Oiseau de mort plissa les yeux et baissa la tête. Il se tourna et commença à partir. Alors, immédiatement, la jeune femme se releva pour lui courir après.
Jeune femme : Attendez, vous êtes blessé, laissez-moi vous aider !
Mais, le mystérieux homme continuait de marcher sans lui répondre. La jeune femme lui saisit le bras.
Jeune femme : Ne me laissez pas seule ici, s'il-vous-plait !
L'homme s'arrêta enfin. Il regarda longuement la jeune femme dans les yeux avant de soupirer et de lui faire mine de le suivre.

Ils arrivèrent devant un bâtiment détruit et prirent l'escalier menant vers les souterrains. A l'aide d'une petite clé, l'homme ouvrit la porte d'une des caves et alluma la lumière. Il y avait aménagé un petit appartement. Bien que pittoresque, la pièce ne manquait de rien. On y trouvait un petit canapé, un frigo, une télé et même une petite salle de bain. Sans un mot, l'homme enleva son haut qu'il jeta sur le canapé et se rendit dans la salle de bain. La jeune femme vit le grand oiseau tatoué dans son dos saillant. Il se saisit d'une serviette et commença à éponger sa plaie à l'épaule.
Jeune femme : Laissez-moi faire. Vous m'avez aidée alors c'est à mon tour.
L'homme la regarda longuement avant de lui tendre la serviette. La jeune femme s'en saisit et commença à éponger la plaie, tout en l'inspectant.
Jeune femme : La balle a traversée votre épaule. Vous devriez voir un médecin.
L'Oiseau de mort : Pas de médecin. Ce fut les premiers mots qu'il prononça.
Jeune femme : Mais, je...
Il lui jeta un regard sombre et perçant.
Jeune femme : D'a.. d'accord...
Finalement, l'homme pansa sa plaie avec un bandage.
Jeune femme : Dites, pourquoi gardez-vous ce masque ?
L'Oiseau de mort : Car, si je l'enlève, je devrais vous tuer. Répondit-il froidement.
Une goutte de sueur perla sur le front de la jeune femme qui ne sut quoi répondre.

Soudain, une notification retentit. L'assassin sortit alors son téléphone de sa poche afin de le regarder. La jeune femme regarda l'objet, interrogée.
Jeune femme : Qu'est ce que c'est que ça ?
Elle se mit à l'examiner sous tous ses angles. L'homme observa cette drôle de réaction sans rien dire. Puis, il rangea son téléphone dans sa poche, afin d'empêcher la jeune femme de voir ce qu'il y était notifié.
L'Oiseau de mort : Vous avez quelques heures pour vous trouver un nouvel endroit. A mon retour, je veux que vous soyez parti. Dit-il, en enfilant une autre veste à capuche.
Sans plus attendre, il partit, laissant la jeune femme seule dans l'appartement.

Cette dernière s'effondra sur le lit avant de pousser un grand soupir.
Jeune femme : Partir, hein ? Mais pour aller où ? C'est vrai qu'il n'est pas très accueillant... Mais, il m'a sauvée. Alors il ne doit pas avoir un mauvais fond... Elle réfléchissait en regardant le plafond. Cela dit, je ne sais même pas comment il s'appelle... Elle observa alors la pièce et vu qu'il y avait un petit meuble à tiroir, fermé par une clé. Je pourrais peut-être... Non, ce n'est pas raisonnable !
Quelques minutes de réflexion plus tard, la jeune femme était entrain de fouiller l'entièreté de l'appartement.
Jeune femme : Bon sang... Où a-t-il mit cette clé ? Ne me dis pas qu'il la garde sur lui...
Des bruits de pas se rapprochant de la porte se firent entendre.
Jeune femme : Déjà ?!
Elle paniqua et se cacha dans le placard. L'homme poussa la porte et la referma doucement derrière lui. Il balaya rapidement la pièce des yeux avant de se déshabiller. Instinctivement la jeune femme se cacha les yeux. Mais, la curiosité la poussa à légèrement écarter ses doigts ; de façon à pouvoir entrevoir la scène. Elle vit alors l'homme enlever son masque. Cependant, il était dos à la jeune femme. Il entra dans la salle de bain et alluma l'eau. La jeune femme en profita pour sortir de sa cachette et se diriger vers la porte. Mais, un énième élan de curiosité la poussa à rester. Elle se faufila doucement jusqu'à la porte de la salle de bain derrière laquelle elle se cacha et regarda par l'interstice. Elle vit alors son visage pour la première fois ; et, il ne ressemblait en rien à ce qu'elle aurait pu s'imaginer. L'homme avait des traits fins, des yeux d'un bleu très clairs presque perçant et des cheveux noirs en bataille qui descendaient sur le front. A vrai dire, ce visage ressemblait à celui d'un ange, ou du moins d'une âme pure et innocente. La jeune femme attrapa son visage et remua sa tête de gauche à droite. Mais, lorsqu'elle eût repris ses esprits, elle croisa le regard de l'assassin. Il la regardait fixement, peut-être depuis plusieurs secondes. Ni une ni deux, la jeune femme prit ses jambes à son cou. Elle poussa la porte et courut sans s'arrêter ; remontant les marches de l'immeuble jusqu'à se retrouver dans la rue. Alors qu'elle se pensait en sécurité, une main se posa sur sa bouche et elle fût plaquer contre un mur.
L'Oiseau de mort : Je vous avais dit de partir !
L'homme ne portait pas son masque. Il avait rapidement enfilé un pantalon et une veste à capuche. La jeune femme essayait de bouger mais, elle était comme paralysée. C'est alors qu'un petit couple entra dans la rue. L'homme lâcha directement la jeune femme et salua le couple interrogé d'un signe de la tête. Dés qu'ils furent assez loin, il attrapa la jeune femme par la main et la tira de force jusqu'à son appartement. Il poussa la porte et la jeta sur le lit. Elle se releva directement et se mit à genoux.
Jeune femme : Pitié, ne me tuez pas !
L'Oiseau de mort : Désolé mais, vous avez vu mon visage. Dit-il, en sortant son couteau.
Jeune femme : C'est ça que vous faites ? Vous tuez des gens, sans même savoir qui ils sont ? Elle inspira et se releva. Alors allez-y, tuez-moi ! Mais sachez que je m'appelle Elia et que...
L'homme lança le couteau qui frôla la joue d'Elia avant de se planter dans le mur.
L'Oiseau de mort : Taisez-vous.
Il attrapa la télécommande pour monter le son de la télé.
Présentateur télé : Le maire tiendra un discours publique ce soir à 21h ! Il devrait présenter son nouveau programme de protection de la ville contre la délinquance !
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